BUJUMBURA, 25 mai (ABP) – Le président de la PARCEM (Parole et action pour le changement des mentalités), M. Faustin Ndikumana (photo), recommande, dans un point de presse organisé ce vendredi le 25 mai 2018 à Bujumbura, quelques défis à relever au cours des élections et sur lesquels il faut agir pour arriver à l’organisation des scrutins qui ne laissent perplexe personne et qui limitent les contextes de contestations. C’est notamment les défis liés à la liberté des mandataires qui représentent les participants aux élections, aux observateurs neutres, aux rôles des uns et des autres pendant le scrutin pour qu’il n’y ait pas des interférences, à la transparence du dépouillement, à la couverture médiatique et à la publication des procès-verbaux après le dépouillement.

Ndikumana a aussi souligné qu’il est important de minimiser les contestations par la présence des observateurs étrangers. Il a insisté sur le dialogue qui reste fondamental pour la cohésion nationale, l’une des piliers pour un pays qui a la volonté de décoller au niveau économique, de la stabilité politique et surtout d’éloigner le spectre de la guerre.

Pour le président de la PARCEM, tout gouvernement devrait penser à ce que le citoyen gagne lorsque dans un pays il y a une bonne gouvernance, une économie solide et stable, des écoles, la lutte contre la corruption et l’amélioration du bienêtre du citoyen.

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